La clé de la réussite, dans la pratique de la hijama, réside dans la capacité à mobiliser toutes les connaissances étudiées jusque-là, sur :
Le praticien ne doit jamais appliquer des points de hijama au hasard. Il lui revient d’observer, écouter et analyser chaque patient avec attention.
Chaque symptôme rapporté est une indication précieuse. C’est à partir de ces indices que le hajjam doit établir des liens entre les manifestations ressenties, les systèmes corporels impliqués, et les points de hijama qui va choisir.
Cette approche demande un véritable engagement intellectuel, une capacité de réflexion anatomique, physiologique et pathologique, et une réelle volonté de proposer d’aider les patients.
Le hijam adapte chaque séance en fonction des besoins réels du patient.
Il ne se limite pas à une méthode standardisée, mais réfléchit à la meilleure manière de stimuler, soutenir ou soulager les fonctions corporelles impliquées dans la maladie, en s’appuyant sur l’ensemble des connaissances qu’il a acquises.
Ce point est utilisé dans la majorité des cas, car il soutient le corps dans son entièreté, et il encore plus important dans les maladies chroniques ou graves.
Points ciblés :
Points :
On vise la circulation sanguine, mais aussi le système nerveux, qui régule la fonction des organes génitaux.